Hugo Chavez, promoteur du “socialisme du XXIe siècle”, n’a soutenu ni les insurgés libyens ni les syriens. Au Venezuela, la critique de l’intervention de l’Otan prime sur le soutien aux peuples révoltés.
Vive la Libye et son indépendance ! Kadhafi est confronté à une guerre civile ! », twittait
le président socialiste Hugo Chavez le 24 février, bien avant l’intervention de l’ONU. Un mois plus tard, le président syrien Bachar Al-Assad reçoit à son tour un l’appui du dirigeant vénézuélien qui
le qualifie d’« humaniste ». « Ce n’est pas un extrémiste, c’est un homme avec une grande